J’ai été invitée le mois dernier à m’exprimer au Centre de recherche et d’actions sociales (Ceras) pendant 45 minutes sur le pouvoir de la fiction sur nos affects politiques, dans la foulée de mon entretien avec la Revue Projet sur “La politique empêchée”. J’y ai abordé le sujet des boucles de rétroaction entre réel et imaginaire, de la “crise de sensibilité” et des “nouveaux récits”, leur nécessité et leur limites politiques, des impacts de la littérature d’anticipation et de la “cli-fi”, des dangers du soft power, de la 5G et de ce que les algorithmes font à nos esprits, pour le droit à des rêveries non dirigées… Voici la vidéo de cette intervention.